Nexium
Prix de NEXIUM 40 mg, comprimé pelliculé
- Ne prenez jamais NEXIUM 40 mg, comprimé pelliculé :
- si vous êtes allergique au lansoprazole, à la famille des médicaments appelés les inhibiteurs de la pompe à protons (IPP) ou à l'un des autres composants contenus dans ce médicament, mentionnés dans la rubrique 6 ;
- si vous prenez des médicaments contenant du lithium (voir rubrique 2 « Avertissements et précautions ») ;
- si vous prenez un autre antibiotique à base de lansoprazole ou si vous prenez déjà un autre antibiotique à base de lansoprazole. Si vous prenez un médicament contenant de l'acide clavulanique, de l'amoxicilline, de la clarithromycine, de la rifampicine, de la tétracycline, de la pénicilline, de la pénicillamine ou de la ticarcilline/clavulanate de potassium ou si vous prenez un antibiotique de la famille des bêta-lactamines, votre médecin peut être amené à augmenter votre dose d'ibuprofène pour la même durée de traitement.
Que faire en cas de surdosage ?
Chez l'adulte et l'enfant de plus de 15 kg (soit environ 4 à 9 ans) : prendre le médicament par voie orale avec ou sans aliments. Si nécessaire, il peut être pris avec ou sans nourriture. La dose recommandée est de 40 mg d'ibuprofène une fois par jour pendant au moins 7 jours. La dose maximale d'ibuprofène recommandée chez l'adulte est de 200 mg par jour (40 mg par jour en doses fractionnées), à prendre à peu près au même moment chaque jour. Une fois que la dose d'ibuprofène a été augmentée ou diminuée à la posologie habituelle, un arrêt progressif de l'augmentation ou de la diminution doit être envisagé. Si les symptômes persistent ou s'aggravent, ou si d'autres symptômes se développent, interrompre le traitement et contacter immédiatement votre médecin.
Dans les cas sévères, une hospitalisation peut être nécessaire. L'ibuprofène peut provoquer une somnolence. Ne pas conduire, faire du vélo ou effectuer d'autres tâches qui exigent de la vigilance jusqu'à ce que vous ayez déterminé si cela est sécuritaire. Ne pas utiliser ce médicament chez les enfants âgés de moins de 15 ans.
Enfants de moins de 15 ans : la dose d'ibuprofène recommandée chez les enfants âgés de moins de 15 ans est de 20 mg à 40 mg par jour, répartis en deux ou trois prises journalières.
Si nécessaire, une augmentation de la dose doit être envisagée si la réponse n'est pas satisfaisante. Une dose quotidienne maximale d'ibuprofène de 800 mg ne doit pas être dépassée.
En cas d'ingestion accidentelle d'ibuprofène, demander immédiatement des soins médicaux afin de supprimer tout effet indésirable et si possible prévenir les complications potentielles.
Si vous avez pris plus de NEXIUM 40 mg, comprimé pelliculé que vous n'auriez dû :
Consultez immédiatement votre médecin ou votre pharmacien.
Si vous oubliez de prendre NEXIUM 40 mg, comprimé pelliculé :
N'utilisez pas une double dose pour compenser l'oubli.
Si vous arrêtez de prendre NEXIUM 40 mg, comprimé pelliculé :
Sans objet.
Si vous avez d'autres questions sur l'utilisation de ce médicament, demandez plus d'informations à votre médecin ou à votre pharmacien.
4. QUELS SONT LES EFFETS INDESIRABLES EVENTUELS ?
Comme tous les médicaments, ce médicament peut provoquer des effets indésirables, mais ils ne surviennent pas systématiquement chez tout le monde. Les plus fréquents sont :
·des troubles digestifs (nausées, vomissements, diarrhées, douleurs abdominales) ;
des réactions allergiques telles que des démangeaisons, une éruption cutanée, des rougeurs ;
des vertiges ;
des troubles visuels ;
des douleurs musculaires ;
des maux de tête ;
des douleurs au niveau des articulations ou des muscles.
Ces effets indésirables sont généralement d'intensité légère à modérée. Les effets indésirables plus graves sont rares : ils peuvent être :
réaction allergique avec gonflement du visage, des lèvres ou de la gorge, éruption cutanée, difficultés respiratoires, troubles digestifs (diarrhée, nausées, vomissements), troubles de la vision ;
douleur abdominale ou douleur de l'estomac ;
nausées ou vomissements, diarrhées, inflammation du foie, du pancréas ou des intestins ;
réactions allergiques graves (réactions cutanées graves telles que bulles et éruptions cutanées) ;
diminution de la numération globulaire (une baisse des globules blancs), diminution du nombre de plaquettes dans le sang, diminution de la concentration sanguine de certains éléments du sang ;
réactions allergiques sévères (réactions cutanées graves, choc anaphylactique) ;
augmentation du taux des enzymes du foie ;
augmentation du taux des enzymes hépatiques (augmentation de l'activité enzymatique) ;
gonflement des paupières ;
augmentation de la pression artérielle ;
réactions cutanées graves (éruptions cutanées pouvant être étendues) ;
douleur musculaire ;
troubles rénaux ;
diminution du nombre de globules blancs et de plaquettes dans le sang ;
gonflement de la bouche, de la langue et du visage ;
réactions allergiques cutanées sévères (par exemple éruptions cutanées, bulles).
Si vous présentez des symptômes d'une réaction allergique (comme une éruption cutanée, des démangeaisons, des difficultés respiratoires ou un gonflement du visage et de la gorge), consultez immédiatement un médecin.
Les symptômes d'une overdose de médicament incluent :
ralentissement ou blocage de la respiration ;
somnolence ou perte de connaissance ;
évanouissement ;
diminution de la capacité à se mouvoir ;
réaction allergique sévère avec gonflement du visage et de la gorge ;
douleur de la gorge ou difficulté à avaler ;
sensation de confusion ;
perte de mémoire ;
sensation vertigineuse ;
somnolence ;
hépatite ;
diarrhée ;
élévation de la pression artérielle.
Pas de dose excessive à ne pas dépasser.
Citons les principaux
Métaux lourds, mercure, cadmium : les métaux lourds ou métalloïdes sont présents dans les organismes vivants, notamment dans le foie des mammifères et dans le tissu pulmonaire des vertébrés. Les métaux lourds ont pour effet d'agir sur la paroi cellulaire, qui se dégrade progressivement et entraîne le remplacement de la cellule par une autre.
Cette détérioration se fait par l'intermédiaire des pores. Il existe une accumulation de métaux lourds dans la cavité thoracique, ce qui a pour conséquence la diminution de la capacité pulmonaire des poumons. Le métalloïde mercure se transforme progressivement en mercure métallique, qui est un cancérogène avéré pour l'Homme.
Certains produits chimiques industriels sont des métalloïdes, à l'instar des pesticides organochlorés, des PCB, des dérivés de l'amiante ou encore des polychlorobenzènes (PCB).
Leur rôle
Les métalloïdes agissent directement sur les cellules du système respiratoire. L'activation des mitochondries (molécules du noyau des cellules) entraîne une production d'énergie dans les cellules, qui est indispensable pour le bon fonctionnement du système cardiovasculaire et des fonctions pulmonaires. Les métalloïdes se situent au cœur de la chaîne respiratoire, qui est une chaîne de réactions chimiques permettant la respiration de l'organisme. La chaîne respiratoire est composée de deux sous-unités : une sous-unité d'initiation, qui libère des ions oxygène en ions hydrogène dans le cytoplasme des cellules, et une sous-unité terminale, qui est la source d'oxygène des mitochondries. Les métalloïdes sont principalement produits par la chaîne respiratoire et la respiration cellulaire aérobie.
Certains métalloïdes sont-ils cancérogènes ?
L'activité professionnelle des métalloïdes conduit souvent à leur présence dans les voies respiratoires.
Les métalloïdes sont classés en 13 catégories selon le nombre de cas de maladie professionnelle par salarié par million d'heures travaillées. Les plus fréquemment retrouvés sont le cadmium, le plomb, le mercure, le chrome, le manganèse, le nickel, le cuivre et le béryllium. Les effets des métalloïdes sont multiples, car ils entraînent une toxicité systémique et interagissent avec les voies de signalisation cellulaires. Les métalloïdes peuvent être classés dans les groupes I et II du tableau 33-B de la norme NF X 33-907, en fonction de la concentration sanguine ou urinaire de la substance chimique dans l'air expiré et de son effet toxique ou non.
Les métalloïdes de la catégorie I sont des produits chimiques industriels toxiques, par exemple les métalloïdes organochlorés. Les métalloïdes de la catégorie II sont des métaux lourds toxiques présents dans l'environnement ou dans le corps, comme le cadmium et le plomb, qui peuvent provoquer des effets neurotoxiques, par exemple chez les personnes qui inhalent des métalloïdes organochlorés. Les métalloïdes de la catégorie III sont des métaux lourds toxiques, comme le cadmium et le mercure.
La production des métalloïdes
Les métalloïdes sont produits dans la chaîne respiratoire. La production des métalloïdes se fait en 3 phases :
- la synthèse des aminoacides ;
- l'activation des lipoprotéines ;
- la synthèse de l'ATP et le métabolisme des acides gras et des acides aminés ;
Première étape de la synthèse des aminoacides
La synthèse des aminoacides se fait par l'intermédiaire de la chaîne respiratoire. Les aminoacides sont des composés organiques produits dans le cytoplasme des cellules, qui se fixent sur l'ADN grâce à une liaison covalente. Ils sont ensuite libérés dans le cytoplasme et sont utilisés pour former des protéines.
Deuxième étape de la synthèse des aminoacides
La synthèse des acides aminés se fait par l'intermédiaire de la chaîne respiratoire. Les acides aminés sont des composés organiques produits dans le cytoplasme des cellules, qui se fixent sur l'ADN grâce à une liaison covalente.
Troisième étape de la synthèse des aminoacides
La synthèse de l'ATP et du métabolisme des acides gras et des acides aminés se fait par l'intermédiaire de la chaîne respiratoire. L'ATP est une molécule de l'énergie qui est produite dans le cytoplasme des cellules, grâce à la fixation de l'oxygène sur les molécules d'acides gras et d'acides aminés. L'ATP est ensuite libérée dans le cytoplasme et est utilisée pour le métabolisme des acides gras et des acides aminés.
Les métalloïdes sont-ils cancérogènes ?
La production des métalloïdes est toxique pour le système respiratoire et peut causer le cancer. Des métalloïdes toxiques peuvent être produits dans l'environnement, par exemple les métalloïdes organochlorés ou le cadmium. Les métalloïdes de la catégorie II sont des métaux lourds toxiques, comme le plomb et le mercure.
Des métalloïdes toxiques peuvent être produits dans l'environnement, par exemple les métalloïdes organochlorés.
Les métalloïdes sont toxiques pour le système respiratoire et peuvent causer le cancer.